• ALLEZ  AMIS......<o:p></o:p>

    IL Y A ENCORE PLEIN DE PLACE DANS LE POT DE MAYONNAISE.................<o:p></o:p>

    JE VOUS Y ATTENDS ON SE LÈCHERA LES DOIGTS !!!!!!!!<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    A lire car ça nous rappelle vite ce que nous oublions malheureusement trop vite aussi.<o:p></o:p>

    Une jolie petite leçon de philo.......amitié<o:p></o:p>

      <o:p></o:p>

    L'histoire du pot de mayonnaise jusqu'au café.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes. <o:p></o:p>

    Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café. <o:p></o:p>

                              <o:p></o:p>

     Il était une fois un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de  golf.<o:p></o:p>

    Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein.  <o:p></o:p>

    Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI. <o:p></o:p>

    Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. 

    Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf.<o:p></o:p>

    Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.<o:p></o:p>

    Ils dirent à nouveau OUI.<o:p></o:p>

    Après, le professeur pris un sachet rempli de sable  et le versa dans le  pot de mayonnaise.  <o:p></o:p>

    Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein.<o:p></o:p>

    Les étudiants répondirent unanimement OUI.<o:p></o:p>

    Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre  les grains de sable.

    <o:p></o:p>

    Les étudiants se sont alors mis à rire.<o:p></o:p>

    Quand ils eurent fini, le prof dit :<o:p></o:p>

    Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.<o:p></o:p>

    Les balles de golf   sont les choses importantes comme la famille, les   enfants, la santé, tout ce qui passionne.<o:p></o:p>

    Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et   qu'il ne nous restait qu'elles.<o:p></o:p>

    Les billes   sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc...<o:p></o:p>

    Le sable   représente tout le reste, les petites choses de la vie.<o:p></o:p>

    Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf.<o:p></o:p>

    C'est la même chose dans la vie.<o:p></o:p>

    Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment   importantes.<o:p></o:p>

    Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur.<o:p></o:p>

    Jouez avec ses enfants (ou petits enfants !!), prenez le temps d'aller chez le médecin, <o:p></o:p>

    Dîner   avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris.<o:p></o:p>

    Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine<o:p></o:p>

    Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment.<o:p></o:p>

    Établissez des priorités, le reste n'est que du sable..<o:p></o:p>

    Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café..

    <o:p></o:p>

    Le professeur sourit et dit :<o:p></o:p>

    C'est bien que tu demandes.<o:p></o:p>

    C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami.  <o:p></o:p>

    Envoie ce message à toutes les personnes qui comptent pour toi, y compris moi si tu le trouves bien, comme ça je saurai que j'ai une place dans ton pot de mayonnaise, même si c'est une tasse de café....

     
     
     
     

    6 commentaires
  • Toi, dont l'amour se penche<o:p></o:p>

    Jusqu'à mon cœur d'enfant,

    Dont l'aile douce et blanche<o:p></o:p>

    Me couvre et me défend,

    <o:p></o:p>

    Quand je fais ma prière,<o:p></o:p>

    Le soir et le matin,<o:p></o:p>

    Au ciel, à notre Père,<o:p></o:p>

    Oh ! Répète-la bien.<o:p></o:p>

    On dit qu'à l'âme pure

    Tu parles quelquefois ;<o:p></o:p>

    Rends-moi, je t'en conjure,<o:p></o:p>

    Attentif à ta voix.

    Pour garder l'innocence<o:p></o:p>

    Je fuis mes ennemis ;<o:p></o:p>

    Oh ! Sois mon espérance,<o:p></o:p>

    Ange du paradis.

    Quand, sur l'étroite route<o:p></o:p>

    Qui mène l'homme au bien,

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Mon pied se lasse ou doute,<o:p></o:p>

    Tends-moi vite la main !

    <o:p></o:p>

    Ah ! De notre demeure<o:p></o:p>

    Eloigne la douleur,<o:p></o:p>

    Et si ma mère pleure,<o:p></o:p>

    Que ce soit de bonheur !

    <o:p></o:p>

    Que par ta vigilance,<o:p></o:p>

    Conservent leur fraîcheur<o:p></o:p>

    Les lis de l'innocence,<o:p></o:p>

    Sur mon front, sur mon cœur.

    <o:p></o:p>

    Des pas de mon jeune âge<o:p></o:p>

    Céleste conducteur,<o:p></o:p>

    Qu'un jour mon cœur partage<o:p></o:p>

    Ton éternel bonheur.

     
     
     

    <o:p>Le livre des anges </o:p>

    La Symphonie des Artites



    2 commentaires
  • La mort des oiseaux

    Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois,<o:p></o:p>

    A la mort d’un oiseau, quelque part, dans les bois,<o:p></o:p>

    Pendant les tristes jours de l’hiver monotone<o:p></o:p>

    Les pauvres nids déserts, les nids qu’on abandonne,

    Se balancent au vent sur le ciel gris de fer.<o:p></o:p>

    Oh ! Comme les oiseaux doivent mourir l’hiver !<o:p></o:p>

    Pourtant lorsque viendra le temps des violettes,<o:p></o:p>

    Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes.

    Dans le gazon d’avril où nous irons courir.<o:p></o:p>

    Est-ce que ” les oiseaux se cachent pour mourir ? ”<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    François Coppée

    <o:p>


     
    </o:p>

    <o:p></o:p>


    votre commentaire
  •  

    Le chat<o:p></o:p>


     

    Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux

    Retiens les griffes de ta patte,<o:p></o:p>

    Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,<o:p></o:p>

    Mêlés de métal et d’agate.

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Lorsque mes doigts caressent à loisir<o:p></o:p>

    Ta tête et ton dos élastique,<o:p></o:p>

    Et que ma main s’enivre du plaisir<o:p></o:p>

    De palper ton corps électrique,<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je vois ma femme en esprit. Son regard,<o:p></o:p>

    Comme le tien, aimable bête<o:p></o:p>

    Profond et froid, coupe et fend comme un dard

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Et, des pieds jusques à la tête,<o:p></o:p>

    Un air subtil, un dangereux parfum<o:p></o:p>

    Nagent autour de son corps brun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Charles Baudelaire,

    Les fleurs du mal<o:p></o:p>


    4 commentaires
  •  

     

    Le tendre et dangereux
    visage de l'amour
    m'est apparu un soir
    après un trop long jour.


    C'était peut-être un archer
    avec son arc
    ou bien un musicien
    avec sa harpe.


    Tout ce que je sais

    c'est qu'il m'a bléssé

    peut être avec une flêche

    peut être avec une chanson


    Tout ce que je sais
    c'est qu'il m'a blessée
    blessée au coeur
    et pour toujours.

     
    Brûlante trop brûlante
    blessure de l'amour.<o:p></o:p>

    Jacques Prévert<o:p></o:p>


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique