• Cela s'est passé à 5 km de chez moi, le mercredi 31 mai 2011

    c'est très impressionnnt heureusement peu de blessés, mais une nature bien abimée...

     

    Les pompiers ont lutté pendant des heures contre les flammes. Portées par le vent, elles ont ravagé au moins 100 hectares de la forêt des Brandes, aux confins de Soyaux, Garat et Magnac-sur-Touvre.

    Cent hectares ravagés par les flammes et 150 pompiers sur le pont. Des renforts de toute la région et de Dordogne. Un hélicoptère, des routes bloquées, des déviations. Et de très grosses inquiétudes quand, vers 16h30 hier, un fonctionnaire de la gendarmerie a lâché à la radio: «Le feu n'arrête pas de tourner. C'est extrêmement difficile à gérer.»

    Pendant plusieurs heures, l'impressionnant panache de fumée a obscurci une partie du ciel de Soyaux, de Garat et de Magnac-sur-Touvre. Il était visible jusqu'à Archiac, Ruffec et Marthon, selon les témoignages. L'alerte a été donnée vers 15 heures. Branle-bas de combat du côté des Brandes, une forêt aux confins de Soyaux, Garat et Magnac. Les premières flammèches sont apparues du côté d'«Antornac» et de «Bussac». Le vent les a fait grossir à vitesse grand V et les a poussées. Elles ont grignoté les arbres et une végétation sèche comme de la paille. Jusqu'à la route de Périgueux. Elles ont même franchi la départementale du côté de l'ancien zoo et se sont approchées dangereusement des maisons.


    Une opération très délicate
    «Le feu a attaqué par quatre fronts, raconte le lieutenant-colonel Muraro, commandant les opérations. Notre priorité: protéger les personnes et les biens.» Quelques maisons ont été évacuées par mesure de sécurité. Des caravanes de gens du voyage installées sur le site des Brandes ont dû partir. En face, du côté du lycée Albert-Grégoire de Soyaux, évacués avant la fin des cours, les pompiers ont arrosé les murs pour créer une barrière d'eau. À Garat, la zone d'emploi de la Penotte a eu très chaud: les flammes ont léché les murs des entreprises artisanales. Chez Mécanelec, Garraut TP et à la chaudronnerie Beslon, les patrons et les ouvriers ont tenté de repousser les flammes avec leurs petits extincteurs. «Nous avons vécu des conditions dignes des incendies du sud-est de la France, souligne le commandant des opérations. Avec un vent qui pousse, une végétation particulièrement sèche et donc un feu qui progresse très vite.»

    Le poste de commandement des pompiers, d'abord installé près de l'ancien zoo, a même dû reculer de 300 mètres, noyé dans la fumée épaisse devenue irrespirable.


    Mobilisation sans précédent
    Plus de 80 pompiers de toute la Charente ont été mobilisés dans un premier temps, épaulés par une soixantaine de policiers et gendarmes. Dans la soirée, trois colonnes de soldats du feu de Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de Dordogne ont débarqué, appelées en renfort. Un hélicoptère de la gendarmerie a survolé la zone d'incendie tout l'après-midi pour informer les hommes à terre de l'évolution du foyer. Au total, ils étaient près de 200 sur le front.


    La cause de l'incendie inconnue
    Les pompiers l'admettent, ils ont eu très peur l'espace de quelques minutes. «À un moment donné, on nous a signalé que trois collègues étaient blessés», insiste Michel Muraro. Un homme a tout de même été touché au visage et intoxiqué par les fumées. Origine du feu? «Inconnue», admet le commandant des pompiers. Au total donc, au moins 100 hectares de forêt ont été ravagés. Lorsque la nuit est tombée, les soldats du feu ont annoncé avoir maîtrisé la situation. Mais une cinquantaine d'hommes sont restés en faction toute la nuit. «Au cas où.»

    Gros blocages sur les routes
    Tout l'après-midi et une partie de la soirée, il ne faisait pas bon rouler du côté de la zone commerciale de Soyaux. Deux barrages avec des déviations ont été dressés: au niveau du rond-point près de Leroy-Merlin à Soyaux et au niveau du giratoire de Sainte-Catherine. Du coup, cela a bouchonné sur plusieurs centaines de mètres, en particulier sur la Départementale 1000.

    Serge Masgonty, patron d'une entreprise de travaux publics.
    «Il était environ 15 heures quand j'ai aperçu du côté de "Bussac" une colonne de feu. Un feu pas très important, un peu comme on peut en faire chez soi, dans son jardin. Je me suis juste dit qu'un petit feu produisant une fumée aussi noire, ça n'était pas très normal. Et voilà que cinq minutes plus tard, je tourne la tête et je remarque des flammes impressionnantes. En quelques minutes, l'incendie a pris des proportions incroyables. Il n'y a pas eu d'affolement, mais les gens ont fait ce qu'ils ont pu pour protéger les entreprises de la zone de la Penotte. Certains ont raconté n'importe quoi: on m'a même assuré qu'il y avait un mort.»

    Hervé Beslon, patron de la chaudronnerie de la zone de la Penotte.
    «Avec nos petits extincteurs à la main face à des flammes qui ont brusquement dépassé la cime des arbres, on s'est vite rendu compte que nous n'allions pas pouvoir faire grand-chose. À un moment donné, je me suis dit que nous étions à la limite de contrôler la situation. On nous a demandé d'évacuer. Mais dans l'attente de pompiers supplémentaires, nous avons décidé de rester pour protéger nos entreprises et faire la circulation: c'est que les gens continuaient d'entrer dans la zone de la Penotte qui est une impasse.»

    Daniel Niot, maire de Garat
    «Je suis arrivé sur place vers 15 heures. Au début, les pompiers ont débarqué de partout, de La Rochefoucauld, de Montbron, d'Angoulême. Ils ne connaissaient pas les accès à la forêt que l'on peut pénétrer par 36 entrées. Alors, nous les avons guidés. Certains élus communaux, agriculteurs, leur ont ouvert le chemin. Et puis les flammes ont rapidement gagné, jusqu'à sauter la route de Périgueux pour se rapprocher dangereusement du quartier du Grand-Lac. Un propriétaire du lotissement en particulier a vu les flammes s'approcher de sa maison. Je pense que si les pompiers n'étaient pas intervenus, son pavillon y serait passé.»



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  • La peur du nombre 13 [triskaidekaphobie] ou celle du vendredi 13 [Paraskevidékatriaphobie] est un phénomène international et tenace, comportant de grands coûts socio-économiques. La peur du nombre 13 est la superstition la plus répandue dans la culture occidentale. Ingénieurs et architectes alimentent la superstition : avec des gratte-ciel, des hôtels et des ascenseurs sans 13ème étage, et avec des avions sans siège no 13, etc.

     

    La problématique relative au mythe du vendredi 13 est récurrente car dans notre actuel calendrier grégorien, toute année, tant normale que bissextile, comporte au minimum 1 vendredi 13 et au maximum 3 vendredis 13. On a donc pas fini d’en entendre parler.

     

    Le maximum annuel de 3 vendredis 13 est atteint si et seulement si le 1er jour de l'année considérée est le jeudi (d'une année normale) ou le dimanche (d'une année bissextile, comme en 2006, 1er janvier 2006 = dimanche). De surcroît, le 13 du mois a légèrement une plus forte probabilité de tomber un vendredi que tout autre jour de semaine.

     

    Le nombre de vendredi 13 dans une année donnée est fonction à la fois du type d’année (normale ou bissextile) et du jour de la semaine pendant lequel tombe le 1er janvier. Pour l’an 2008 (année bissextile car février = 29 jours) il y aura un seul vendredi 13, tombant au mois de juin, car le 1er jour de 2008 est un mardi.

     

    Depuis des siècles, la combinaison et les composantes du vendredi et du 13 sont symboles d'infortune. On a toujours considéré le 12 comme nombre "divin" et le 13 subséquent devenant symbole de "malédiction". En effet il y a 12 dieux dans l'Olympe antique, 12 signes du zodiaque, 12 travaux d'Hercule, 12 tribus d'Israël et 12 apôtres de Jésus. De surcroît, il y a 12 mois dans l'année, 12 heures le jour et 12 heures la nuit.<o:p></o:p>

     

    Toutefois, le vendredi 13 n'est pas un jour d'infortune pour tout le monde. En Espagne en Grèce et en Amérique latine, c'est plutôt mardi 13 qui est jour de malchance. Chez les Italiens, c'est 17 qui est le nombre malchanceux et non 13. "Fare tredici!" ou "Faire le treize" est un slogan de la lotterie nationale. Alors, si vous trouvez le nombre 13 vous gagnez. Toutefois, on ne trouvera pas de chambre 17, ni de 17ème étage dans les hôtels, ni de siège no 17 sur les avions de la compagnie italienne Alitalia. Des millions d'Asiatiques ont peur du chiffre 4. En effet, ce chiffre dont la prononciation est identique à celle du mot "mort" tant en mandarin, en cantonais, qu'en japonais. Pour les Japonais, le nombre 4 est hanté car il se prononce "shi", et ce dernier mot signifie "la mort". 


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  •  pour avoir enlevé à un patient un rein sain

     

    Aberrance :

    Sur qui pouvons-nous vraiment compter ????

    A qui remettre notre vie en cas de problème ?????

    C'est à se le demander !!!!!!

     

     

    Un chirurgien du centre hospitalier régional de La Réunion a été suspendu pour avoir enlevé le rein gauche sain d'un patient au lieu du rein droit malade, a indiqué lundi la direction du CHR, confirmant une information du Journal de l'île de la Réunion

    "C'est une erreur médicale particulièrement grave", a affirmé le directeur général du CHR Michel Calmon. Lors d'un point de presse à Saint-Denis, il a annoncé la "suspension immédiate de toute activité" du chirurgien en cause.

    La victime, un homme de 71 ans, avait été opérée le 14 février dans le service d'urologie pour une néphrectomie (ablation d'un rein malade).

    Le chirurgien a fait une "erreur de côté" en prélevant le rein gauche, parfaitement sain, au lieu du rein droit malade, s'étant trompé dans les notes qu'il avait établies pour l'intervention, selon la direction.

    La palpation aurait pu permettre de corriger le tir lors de l'intervention. Malheureusement cela n'a pas été le cas. Quand le chirurgien a eu connaissance de l'erreur, il était trop tard pour réimplanter le rein", a expliqué le docteur Tawfiq Henni, président de la Commission médicale d'établissement.

    Cette commission a conclu que "le lien direct avec l'erreur relève d'une cause individuelle mise sur le compte de la fatigue et de l'inattention" du chirurgien, a-t-il ajouté.

    Le 22 février, la direction de l'hôpital, accompagnée du chirurgien fautif, a informé le malade et sa famille de la bavure et des excuses leur ont été présentées. Une indemnisation leur a en outre été proposée par une société d'assurances.

    Il leur appartient désormais de choisir entre cette indemnisation et une procédure contentieuse. Il ne s'agit nullement d'une manœuvre pour éviter un procès", a déclaré le directeur du CHR. Les chirurgiens vont "essayer de sauver le rein malade" pour éviter que le patient soit dialysé, a-t-il précisé.

     

    Le chirurgien en cause "reconnaît l'erreur" et "est très perturbé", selon l'hôpital. Il va demander au ministère de la Santé une nouvelle affectation.

     

    "Il est hors de question qu'il puisse continuer à exercer au CHR", a indiqué la direction de l'hôpital.

    Le praticien, disposant d'une vingtaine d'années d'expérience, avait été recruté en mai 2007. Sa titularisation avait été refusée à l'unanimité par les instances du CHR à la suite de plusieurs manquements, mais "cet avis n'a pas été suivi par le ministère de la Santé, qui avait jugé les motivations insuffisantes", a précisé la direction, ajoutant qu'"après sa titularisation, il était impossible de lui interdire l'exercice médical".

    Les contrôles au sein du CHR avaient déjà été renforcés l'an dernier après le décès de deux malades lors d'une greffe de rein. L'enquête avait permis d'établir plusieurs dysfonctionnements mais "pas de faute médicale", selon la direction. Depuis ces événements, les transplantations rénales demeurent toutefois suspendues à La Réunion.


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  • Petite fille, grand cœur...

    Violette a 9 ans. En février, elle apprend que le poney qu'elle monte dans son centre équestre de Vaison-la-Romaine, est atteint de cataracte. "S'il perd la vue, il perd la vie". Violette lance un appel à la solidarité. Elle verse 100 euros pour l'opération. Et ça marche! 1600 euros sont finalement recueillis

    La belle histoire ne fait que commencer.


    Lire la suite ici....

    http://www.lepost.fr/portfolio/2010/05/13/2071973_une-petite-fille-sauve-la-vue-et-la-vie-d-un-poney.html

     

     

    La fin pour les plus belles histoires au grand cœur,

    Toutes se sont très bien terminées.

    D'autres à venir....Laissons passer 2011...


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  • Les 33 ...                                                                                

    Et oui, on ne peut pas oublier l'incroyable périple des 33 mineurs chiliens, qui a tenu en haleine la planète entière pendant 4 mois.

    Les mineurs ont été sauvés un par un en octobre.

    Lire la suite...

     

    http://www.lepost.fr/article/2010/08/24/2193908_33-mineurs-coinces-pour-4-mois-sous-terre-au-chili-ca-c-est-une-vraie-lecon-de-survie.html


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